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Orageux!

Orageux!

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Regards poétiques sur l'eau.

L’EAU ET L’AMOUR

 

L’eau est le maestro

Qui à chaque vague, s’écrasant sur la plage

Fait vibrer ma douce peau,

Ainsi ses mélodies se propagent.

 

Peu à peu, je plonge dans le néant

Quant à la douce rivière, elle

S’est jetée dans les bras

Du beau fleuve.

 

Quant à moi, je me suis jetée dans les bras

De l’être qui hante mes pensées.

J’espère, qu’un jour il viendra

Lui, qui me fait tant rêver

 

« il pleure dans mon cœur

Comme il pleut sur la ville »

Tout cela me fait peur

Je ne suis qu’une imbécile

 

Mais tes sourires ravivent mes jours de pluie,

Toute cette symphonie

Ne donne aucun sens à ma vie ,

Mais bon, tant pis.

La pluie

 

Ô doux bruit de la pluie,

Qui est souvent agitée,

Il faut alors trouver un abri

Pour ne pas se faire éclabousser.                                                                           

C’est bien la pire peine

D’être sous cette pluie qui se déchaine

Sans raison, sans haine.

 

La pluie inonde mon visage,

En ce matin doux et pluvieux

Que tout le monde veut fuir, jeunes et vieux.

Elle m’apaise et me rend sage.

                                                           

Je dois être sur une autre planète.

Vous trouvez peut être ce poème chouette,

Mais pardonnez-moi, je n’ai pas l’âme d’un poète.

Léon.

C’est l’histoire du marin Léon

Qui naviguait vers l’horizon

Il n’a jamais eu de problème avec Poséidon

N’a jamais vu le spectacle de Moïse

Mais il a déjà frôlé la banquise

Oh ! Mais ne-serait-ce pas son ami

Il se nomme Tommy

Il est toujours en bonne compagnie

Il est passionné par son métier

Oh ! Oui c’est surprenant, car il est poissonnier

Tous les deux, ils naviguèrent

En direction d’autres mers,

Ils voulaient rentrer fiers,

Rentrer en ayant découvert une île

Malheureusement ils ont été mangés par un crocodile.
 

Destins

A l’aube, j’ai suivi le ruisseau

Berges parfumées, limpides eaux,

Entrainant dans ses cascades, graviers et galets,

Les faisant rouler comme autant de jouets.

 

Déjà rivière au cœur des vallées, je l’ai contemplée,

Elle qui épouse son lit de sa silhouette galbée,

Renvoyant au soleil du matin

Mille éclats adamantins.

 

Midi, fleuve immobile aux eaux mouvantes,

Grossi par les fleuves et les résurgences,

Déforme mon reflet, m’inonde de pensées oppressantes.

 

Crépuscule, agenouillé au bord de l’estuaire où l’eau a le goût des larmes,

J’espère et pose mon âme

Ici où tout se perd et renaît au gré des vagues.

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